Chiens – :
« La plupart des cantons suisses disposent d’une réglementation concernant les chiens, en particulier s’agissant de la détention de chiens dangereux ou potentiellement dangereux. » (Département Fédéral des Affaires Etrangères DFAE, 2021).
» Avec un chien pour 38.4 personnes, le canton de Bâle-Ville présente la densité canine la plus basse. C’est dans le canton du Jura que le fidèle compagnon de l’humain est le plus apprécié, avec un chien pour 7.8 habitants » (24 heures, 2019).
« Dès le 1er janvier 2007, tous les chiens doivent être marqués de façon unique et infalsifiable par l’implantation d’un microchip et être enregistrés dans la banque de données AMICUS, qui a remplacé la banque de données ANIS au 1er janvier 2016. Les chiens importés de l’étranger doivent être présentés dans les 10 jours après l’importation à un vétérinaire en Suisse. L’annonce de ces chiens pour l’enregistrement dans la banque de données AMICUS doit ensuite être faite dans les 10 jours par le vétérinaire (avec le numéro de microchip ou de tatouage étranger) » (DFAE, 2021). « Ce marquage garantit une traçabilité complète et les importations illégales de chiens trop jeunes et malades peuvent être détectées et évitées. AMICUS fournit également la base pour contacter les propriétaires de chiens abandonnés ou en fuite » (Amicus, 2018).
Depuis le 1er avril 1999, il n’est généralement plus exigé de faire vacciner les chiens contre la rage, étant donné que cette maladie a été éradiquée en Suisse. Cependant, cette vaccination reste obligatoire pour les chiens de chasse et est nécessaire pour voyager à l’étranger avec un animal. La législation varie également selon les cantons. Par exemple, le vaccin contre la rage reste obligatoire dans la ville de Genève. D’autres vaccins sont fortement recommandés, comme ceux pour la maladie de Carré, la leptospirose, la parvovirose ou encore l’hépatite, et ils peuvent devenir obligatoires pour les chiens placés en pension.
