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Qu'est-ce que SWISS-poc ?

Un glossaire de mots-clés suisses permettant d’inspirer des pays en quête de démocratie.

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De la
démocratie
en Suisse


Vous ne vivez pas en démocratie...
Et vous ne le savez pas...
Parce que vous ne connaissez pas le modèle suisse !

Marine marchande :

« C’est le 9 avril 1941 que le pavillon suisse a été créé par le Conseil fédéral avec un port d’attache situé à Bâle, aux portes du Rhin. Le tout premier cargo s’appelait le « Calanda » et appartenait à la Schweizerische Reederei. » (Grivat, 2016). Actuellement, 3 armateurs se partagent la barre de 20 cargos.

« La flotte maritime suisse a été créée en avril 1941. L’Office Suisse de la Navigation Maritime (OSNM) du Département Fédéral des Affaires Etrangères (DFAE) administre les activités de cette flotte de commerce maritime, dont le port d’attache est Bâle. Il veille à ce que les traités légaux soient appliqués, gère l’administration de la flotte et représente la Suisse auprès des organisations internationales. Les représentations diplomatiques et consulaires sont chargées de surveiller et soutenir les bateaux suisses et leurs équipages à travers le monde. En cas de nécessité, la Confédération peut réquisitionner les navires de commerce suisses pour assurer l’approvisionnement économique du pays. L’OSNM tient également le registre de tous les yachts de haute mer et des petits bateaux suisses. » (Wikipédia, 2021).

« La marine suisse comptait encore, en 2016, 49 cargos pour 6 armateurs. En moins de quatre ans, elle n’en compte plus que 20 pour 3 armateurs : Suisse-Atlantique à Lausanne, ABC Maritime à Nyon dans le canton de Vaud, et Zurich Reederei. » (Swissinfo, 2020).

Accès à la mer
La Suisse bénéfice d’un accès direct à la mer par le Rhin. La convention de Mannheim concernant la navigation du Rhin a été signée le 17 octobre 1868. Elle garantit aux États riverains du Rhin la libre circulation des bateaux depuis le port de Bâle jusqu’à la mer, sans droit de douane ou de transit. La Confédération est membre de la Commission Centrale pour la Navigation du Rhin (CCNR).

Flotte de haute mer
« Les premiers bateaux ont été achetés et exploités par le gouvernement en vue d’assurer la fourniture de ressources essentielles pendant la Seconde Guerre mondiale. Après la guerre, émergeait une flotte marchande formée par des investisseurs privés. Les subventions gouvernementales ont, en partie, favorisé cette émergence en contribuant au fonctionnement de la flotte jusqu’en 1953. » (Wikipédia, 2021).

Les plus grands bateaux jamais construits
« Avec leurs 87 000 tonnes, le «Tzoumaz », le «Diavolezza» et le «Bregaglia» sont les plus grands navires jamais construits pour la marine suisse. Pour la première fois en 75 ans, ils ont été commandés à un chantier naval au Vietnam par l’armateur Suisse-Atlantique. Leurs dimensions record (240 m de longueur pour 38 m de large) sont taillées pour franchir les nouvelles écluses élargies du canal de Panama, qui ont été inaugurées en 2016. Leur prix à neuf tourne autour de 33 millions de francs. Leur consommation avoisine les 20 tonnes de fuel lourd par jour! La marine suisse n’a jamais possédé de pétroliers, mais 6 porte-conteneurs, qui ont finalement été vendus par leur armateur, Suisse-Atlantique. » (Grivat, 2016).

Première flotte des pays sans accès à la mer
« La Suisse était en 2016 la nation qui possédait la plus grande flotte au monde des pays sans littoral maritime devant la Mongolie. Sa part au tonnage mondial correspondait à 1‰. La marine suisse doit assurer l’approvisionnement du pays en cas de guerre ou de crise : « Le principe de base de l’approvisionnement du pays veut que la population suisse puisse vivre en totale autarcie durant 6 mois. Si la Suisse ne dépend que des cargos étrangers, la mission ne sera pas remplie, » prédit Eric André, le président de l’Association des armateurs suisses. » (Grivat, 2016).

Équipages et officiers
« Aujourd’hui les équipages sont en majorité philippins, ukrainiens, russes et croates, moins de 10% sont suisses. Par le passé, les équipages comptaient davantage de nationalités et les marins suisses étaient majoritaires. Pour devenir officier, un Suisse doit se former à l’étranger. Les brevets requis doivent être obtenus dans l’un des pays que l’Organisation Maritime Internationale (OMI) a inscrits sur la liste des États garantissant la pleine application des dispositions de la convention on Standards of Training, Certification and Watchkeeping for seafarers (STCW). Les mécaniciens sur machines peuvent compléter leur formation par des stages maritimes à l‘étranger. Et les futurs marins sont formés par une société d‘armement suisse après avoir obtenu un Certificat Fédéral de Capacité (CFC). » (Wikipédia, 2020).

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